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dimanche, février 23, 2025
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AES : le contrat des fonctionnaires sahéliens à la CEDEAO prendra fin en septembre 2025

Les ressortissants maliens, burkinabè et nigériens, en poste au sein de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ont exactement huit mois pour plier bagage. En septembre 2025, ces derniers devraient toucher des indemnités à hauteur de trois mois de salaire de base, auxquels s’ajouteront un mois par année d’ancienneté, avec un plafond de douze mois.

Alors que la phase des négociations entre la CEDEAO et l’Alliance des États du Sahel (AES) est encours, les contrats des fonctions des ressortissants maliens, burkinabè et nigériens, en poste au sein de la l’organisation sous-régionale, prendront fin dans huit mois.

Les lettres de fin de contrat ont déjà été envoyées. 135 Maliens, Nigériens et Burkinabè sont concernés. Selon les dispositions contenues dans les textes règlementaires de la CEDEAO et dans les contrats eux-mêmes, tous bénéficieront de l’équivalent de trois mois d’indemnités de salaire, ainsi qu’un mois par année d’ancienneté, avec un plafond de douze mois.

Pour ces centaines de travailleurs, certains ayant des dizaines d’années d’expériences au sein de la CEDEAO, cette décision bien qu’attendue semble précipitée. Une retraite anticipée, de nouveaux postes en attente dans leurs pays ? Rien n’est prévue à la vue du silence des dirigeants de l’AES sur la question. Seules, la chance ou les opportunités décideront du sort de ces cadres mis au chômage.

Par ailleurs, la CEDEAO a mis en place un comité chargé de négocier avec les trois pays de l’AES les « modalités de sortie », qui concernent notamment la liberté de circulation des personnes et des marchandises, les conditions d’installation et de création d’entreprise, mais aussi les programmes économiques, d’infrastructures et de développement menés ou financés par la Cédéao au Mali, au Niger et au Burkina.

Les trois pays se disent également prêts à négocier, en privilégiant une « approche globale ».

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