Le Ghana prend des mesures décisives pour renforcer sa sécurité numérique face à la montée des cyberattaques en Afrique. L’Autorité de la cybersécurité (CSA) a accordé des licences et accréditations à 51 acteurs du secteur, leur permettant ainsi d’offrir légalement des services de sécurité numérique dans le pays.
Cette initiative s’aligne sur la loi de 2020 sur la cybersécurité (loi 1038), en particulier les articles 4(k), 49, 50, 51, 57 et 59, qui autorisent l’Autorité à superviser du Ghana paysage de la cybersécurité. La loi impose la réglementation des activités de cybersécurité pour garantir que les services fournis aux Ghanéens répondent aux normes et procédures approuvées.
Albert Antwi-Boasiako, directeur général du CSA, a affirmé l’engagement de l’Autorité à faire respecter la conformité entre toutes les entités et tous les individus. Il a souligné que ceux qui enfreignent la réglementation pourraient faire face à de graves conséquences, notamment des poursuites pénales et des sanctions administratives.
Pour Surf requin, une société VPN, mise à jour pour la dernière fois en avril 2024, Ghana a été classé neuvième parmi les dix pays africains ayant enregistré le plus de violations de données en 2024.
Le pays a enregistré une augmentation des violations de 997 % au premier trimestre 2024 par rapport au quatrième trimestre 2023, soit un total de 1.2 million de violations. Restant également au 92ème rang mondial, le pays a connu un peu plus de quatre millions de violations depuis 2004.
La Cyber Security Authority (CSA) du Ghana a accordé des licences et des accréditations à 51 acteurs du secteur, dont huit fournisseurs de services de cybersécurité (CSP), huit établissements de cybersécurité (CE) et 35 professionnels de la cybersécurité (CP).
Ces acteurs comprennent des fournisseurs de services de cybersécurité (CSP) comme Virtual Infosec Africa, e-Crime Bureau et CWG Ghana ; Les établissements de cybersécurité (EC) tels que Absa Bank, Access Bank, Fidelity Bank et Garantie Trust Bank ; et des professionnels de la cybersécurité (CP), dont Kester Quist-Aphetsi, Tornyelli Tetteh, Jeannette Quayson, Olivia Jones et Ebenezer N. Nakoja.
La licence des professionnels de la cybersécurité est renouvelable annuellement, et celle des prestataires de services de cybersécurité et des établissements de cybersécurité est valable deux ans.
Cette initiative s’aligne sur la loi de 2020 sur la cybersécurité (loi 1038), en particulier les articles 4(k), 49, 50, 51, 57 et 59, qui autorisent l’Autorité à superviser du Ghana paysage de la cybersécurité. La loi impose la réglementation des activités de cybersécurité pour garantir que les services fournis aux Ghanéens répondent aux normes et procédures approuvées.
Albert Antwi-Boasiako, directeur général du CSA, a affirmé l’engagement de l’Autorité à faire respecter la conformité entre toutes les entités et tous les individus. Il a souligné que ceux qui enfreignent la réglementation pourraient faire face à de graves conséquences, notamment des poursuites pénales et des sanctions administratives.
Pour Surf requin, une société VPN, mise à jour pour la dernière fois en avril 2024, Ghana a été classé neuvième parmi les dix pays africains ayant enregistré le plus de violations de données en 2024.
Le pays a enregistré une augmentation des violations de 997 % au premier trimestre 2024 par rapport au quatrième trimestre 2023, soit un total de 1.2 million de violations. Restant également au 92ème rang mondial, le pays a connu un peu plus de quatre millions de violations depuis 2004.
La dernière de ces violations remonte à 2021, lorsque le Secrétariat du service national (NSS) souffert une mauvaise configuration massive de la base de données qui a exposé les données de jusqu’à 700,000 XNUMX citoyens à travers le pays.
En septembre 2023, Antwi-Boasiako divulgués que les incidents de cyberfraude dans le pays ont entraîné des pertes financières substantielles totalisant 4.33 millions de dollars. Ces pertes représentent uniquement celles signalées aux autorités entre janvier et juin 2023, avec des montants potentiellement plus élevés provenant de cas non signalés.